En France, le débit de paroles des Français est logiquement plus rapide et l’université n’en déroge pas.
Au sein de l’université française, il est à distinguer deux types de cours :
- les cours magistraux qui se font en amphithéâtre.
- les travaux dirigés dits T.D. qui se feront en salle de classe.
La différence entre les deux se trouve dans le nombre d’étudiants assistant aux cours et cela aura donc une influence sur le comportement de ce dernier. Si l'étudiant se montre plus ouvert lors des T.D., il sera passif lors des cours magistraux.
Pendant les cours, le professeur dicte le plus souvent aux étudiants. Le but est alors de ne rien perdre en notant tout. Si le cas se présentait, il faudrait demander les notes d’un autre étudiant et les traduire. Vous ne pouvez donc y échapper. D’où le difficile exercice de la prise de notes.
Alors comment se forment les abréviations, quels sont ses mécanismes?
Comment ça fonctionne ?
Il y a trois possibilités, le mot peut se construire :
- A partir de l'initiale du mot, écrit soit en minuscule soit en majuscule.
Ex. : p. (page), M. (monsieur).
- En supprimant les lettres finales.
Ex. : hab. (habitant), ex. (exercice).
- en supprimant les lettres intérieures.
Ex. : qqn (quelqu’un), tjs (toujours).
Un autre phénomène rentre en ligne de mire : la suppression des prépositions, des articles et des éléments qui ne font pas partie du cours comme les anecdotes du professeurs, ses remarques personnelles etc.).
MAINTENANT…À VOS STYLOS ! Testez-vous ici.
mardi 7 avril 2009
Être prêt à prendre des notes !
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